Lorenzo le Magnifique

Hier soir nous étions 4 nobles aventuriers à jouer à Lorenzo : Florence (que je remercie pour sa fidélité aux soirées Oldies, et pour me supporter itou !), Lorie (dont j’ai eu le plaisir de faire la connaissance), Guillaume (qui m’est apparu de suite comme quelqu’un de fin, d’intelligent et de gentil, sans doute sous l’influence de son prénom faste) et votre humble serviteur.

Que dire du jeu ? Pas grand chose au vu de tous les CR que j’ai déjà faits sur Lorenzo, juste quelques petits rappels. On joue 6 manches avec 4 actions, ce qui fait 24 actions (j’ai bon @Max ?). Les actions se font avec 4 petits pylônes (représentant des membres de notre noble et patricienne famille) : 3 ont la valeur des dés jetés par le premier joueur, 1 est neutre et de valeur 0 (et doit être joint à un serviteur, car oui, à la Renaissance, il y a des serviteurs qui s’occupe de tout chez les riches… comme maintenant d’ailleurs !).

Le cœur du jeu est l’achat de cartes de différents types : personnages (avec de l’argent), territoires (gratuits et servant à produire divers ressources : bois, pierres…), projets (donnant des PV en fin de partie) et bâtiments (servant surtout à transformer des ressources en autre chose : PV, avancée en militaire…).

Il y a aussi le village où l’on peut faire moult belles et bonnes choses, les cases de production (hache ou engrenage), la case de l’ordre du tour.

Et surtout, la piste de foi, car en ce temps là l’Eglise était puissante (et brûlait les hérétiques affirmant avoir vu des objets dans le ciel, mais ceci est une autre histoire !). Bref, il y a 3 paliers et notre avancée sur la piste nous permet (ou non) de ne pas être excommunié…

Au terme d’une belle partie, c’est Lorie qui l’emporte, ayant bien mis à profit production et transformation.

Bravo à elle, et merci à vous nobles amis de votre bienveillante présence.

Guillaume le Bon

PS : mon CR étant trop court, et dans le but d’élever le niveau de culture générale des ADR (trop souvent sybarites informaticiens), voici quelques vers joyeux de Dante :

Par moi, vous pénétrez dans la cité des peines;

par moi, vous pénétrez dans la douleur sans fin;

par moi, vous pénétrez parmi les gens perdue.

La justice guidait la main de mon auteur;

le pouvoir souverain m’a fait venir au monde, la suprême sagesse et le premier amour.

Nul autre objet créé n’existait avant moi,

à part les éternels; et je suis éternelle.

Vous, qui devez entrer, abandonnez l’espoir.

Dante Alighieri