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2 Participant·e·s :

6 Gagnant·e·s :

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Non, je ne veux pas parler de la mienne, mais de l’abri qu’ont occupé nos survivants : Katia, Anton et Boris. Car oui, François a eu la délicate attention de venir me présenter This War of Mine dans ma grande maison froide en pleine hiver, on était super roleplay. Grosse différence tout de même, on n’a pas eu besoin de sortir pour aller chercher à boire et à manger ;) [Attention, risque potentiel de spoil si vous lisez tout !] Voilà donc nos 3 survivants pris au piège de cette implacable guerre civile qui laisse peu d’espoir à ceux qui n’ont cru nécessaire de fuir tant qu’il en était encore temps. La vie en communauté s’organise assez rapidement : dès les 1ers, tout le monde s’attèle à déblayer la grande maison qui nous sert d’abri. Nous trouvons pas mal de matériel mais nous le savons, nous ne tiendrons pas longtemps si l’on se contente de cela. Nous décidons donc de lancer des expéditions nocturnes dans les environs afin de trouver les ressources qui nous manquent. Boris, le solide magasinier part en compagnie de Katia, la journaliste. Anton est assigné à la surveillance de notre abri, les nuits ne sont pas sûres ces derniers temps. Vu qu’il traine un cafard contagieux, autant qu’il reste seul à la maison. Katia et Boris ne s’éloignent pas trop mais trouvent de quoi subvenir à nos besoins. Mais pas de quoi faire des réserves suffisantes pour nous permettre de donner à manger aux pauvres gens qui rôdent dans le quartier. Mais au bout de quelques jours, en pleine nuit un vieil homme frappe à la porte. Il semble mal en point. Est-il armé ? Est-ce un piège ? Nous choisissons de le laisser entrer et de l’aider. Tout se passe bien et pour nous remercier, le vieil homme nous laisse le plan d’un vieil entrepôt, soit disant bien rempli. Mais qu’en faire ? Là encore, comment être sûr de ce qu’il raconte ? La nuit suivante, au lieu d’utiliser nos dernières forces pour nous rendre en ville, désormais infestée de tireurs embusqués (qui s’avèreront fort heureux pour nous plutôt maladroits), nous économisons nos forces en nous orientons vers ce mystérieux entrepôt. Bien nous a pris puisque nous y trouvons beaucoup de matériel à proximité de notre abri ! Tout ceci nous permet de nous installer un peu plus au calme et d’éviter que nos pauvres voisins ne meurent de fin mais nous sommes fatigués et les réserves disparaissent à vitesse grand V. Et c’est là qu’un premier drame intervient ! Katia est victime d’un tireur embusqué ! Fort heureusement, elle et Boris sont près de l’hôpital mais ils devront y passer la nuit pour éviter que sa situation n’empire. Elle revient à l’abri, mais salement amochée et sans ramener grand chose. Afin de limiter les risques, Boris part seul le lendemain. Pour aider au maximum ses compagnons il décide de partir sans arme en espérant pouvoir ramener plus de ressources. Mais alors qu’il fouille discrètement un bâtiment à l’abandon, il est attaqué par un chien errant ! Il parviendra à se dégager mais rentre à son tour blessé. Katia toujours mal en point et Anton accumulant la fatigue à cause de ses nuits blanches, Boris n’a d’autre choix que de repartir le lendemain. Mais cette fois, il attire l’attention de 2 soldats qui ne lui laisseront même pas le temps de négocier ! Une rafale de fusil mitrailleur vient à bout du solide gaillard. Sans nouvelle de leur leader, Katia et Anton se mettent en quête de nouveaux compagnons. Las, ils croisent la directrice de l’école, qui semble gravement malade, puis un vieil homme hirsute et blessé. Pas besoin de nouvelles bouches à nourrir si celles-ci ne peuvent aider à la vie du camp ! Afin de survire, Anton se voit contraint de se rendre à une distribution d’aide humanitaire dont il a entendu parler. La cohue est prévisible, il n’y échappera pas. Mais il parvient à échapper aux rebelles venus confisquer les denrées distribuées ! Il finit par rencontrer Marko, un ancien pompier. Affamé mais bien portant ! Un bon repas plus tard, notre nouvelle recrue s’affaire dans l’abri et à l’extérieur. Mais Katia, toujours mal remise de ses blessures et mise à rude épreuve par son addiction sombre peu à peu dans la déprime. Au point qu’elle décide de quitter ses camarades sans un mot, laissant juste son journal derrière elle pour expliquer qu’elle part à la recherche de sa famille. Les 2 hommes encore présents dans la maison sont bien organisés et bien équipés. Les nuits ont l’avantage d’être calmes, les pillages sont moins fréquents. Sans doute que nos barricades découragent les voleurs les moins affutés. Mais ces nuits calmes laissent le temps de ressasser les vieux souvenirs, l’ambiance est plus pesante que jamais. Jusqu’au jour où … mais oui ! Enfin ! On voit débarquer en ville les forces internationales ! Enfin le monde a entendu nos appels à l’aide. Les soldats qui faisaient régner la terreur en ville ont tôt fait de disparaitre devant une armée supérieure en hommes et en matériel. Nous sommes de nouveau libres, libres et vivants ! Nos pensées vont vers Boris et Katia, nous espérons qu’elle aussi est encore en vie. Nous avons traversé une terrible épreuve mais nous nous en sommes sortis.

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  • #56131
    Nem
    Maître des clés
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    Bravo pour ce pavé et pour votre victoire :)

    #56132
    Tom
    Participant
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    Impressionnant !
    Je ne pensais as qu’on pouvait gagner à TWoM ! :good:

    \m/_(^_^)_\m/
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