Concordia

Hier nous étions 4 ADR pour investir la Grèce antique, Florence, Louisa, Rémy et votre serviteur le bon Guillaume. Nous avons donc jouer à Concordia Vénus.

Le principe en est simple : à chaque tour, on joue une carte qui nous permet de faire une action. Par exemple, se déplacer et construire avec l’architecte, piller une province avec le préfet, acheter des cartes avec le sénateur, vendre et/ou acheter des marchandises avec le marchand…

J’entends déjà les malveillants dire que c’est un jeu trop simple pour les ADR, que eux ils jouent à des Saumons Frétillants et autres jeux experts. Alors je répondrais : 1. On en parle de Dune Imperium ? 2. Tout le sel du jeu dépend du timing de ses actions : savoir profiter des cartes des autres joueurs (avec le diplomate), faire la course pour construire avant les autres joueurs, bien “timer” sa production de ressources… En vérité je vous le dis, ce jeu est excellent !

A la fin de la partie (qui arrive si un joueur construit sa dernière maison ou si la dernière carte est achetée), on fait le décompte : grosso modo plus on a de maisons sur la carte et plus on a de cartes, mieux cela sera pour bien scorer. Les cartes, en effet, en plus de leur pouvoir dans la partie, sont aussi des multiplicateurs pour chaque Dieu. Ainsi, Jupiter marquera selon les villes, Saturne les provinces, Mars les colons…

Victoire méritée de Louisia qui a réussi à poser toutes ses maisons (malgré quelques roll backs que dans ma grande bonté j’ai acceptés).

Et désolé si hier j’étais un peu grognon. Cela était du à ma grande fatigue (et au fait que l’on avait maltraité mon fil Discord aussi). Ceux qui me connaissent bien savent que, d’ordinaire, je suis d’un naturel gentil, aimable, enjoué, bienveillant, sociable et aimant les gens…

Guillaume le Bon

PS : afin de faire plaisir au bon Ludo, voici quelques vers d’Homère :

« Atrides, et vous aussi, Achéens aux bonnes jambières, puissent les dieux, habitants de l’Olympe, vous donner de détruire la ville de Priam, puis de rentrer sans mal dans vos foyers ! Mais, à moi, puissiez-vous aussi rendre ma fille ! et, pour ce, agréez la rançon que voici, par égard pour le fils de Zeus, pour l’archer Apollon. »

L’Iliade